Le Covid-19 est dangereux mais notre manque de condition physique et mode de vie peuvent l’être tout autant

Il semble de plus en plus clair que ce virus, mortel comme rarement l’être humain contemporain n’en a connu, aurait eu un impact bien moins dangereux si nous étions en meilleure forme. Bien entendu ce discours ne peut être affirmatif car les contre-exemples existent. Pourtant les premiers chiffres disponibles sur les victimes de cette maladie interrogent clairement nos modes de vie occidentaux. Et si cette période très compliquée nous poussait à changer ?
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Chaleur, attention danger !

Le réchauffement climatique est à l’œuvre et les périodes de fortes chaleurs se multiplient. C’est le cas actuellement en ce mois de mai avec des températures élevées qui mettent à mal les organismes en constituant au mieux un frein à la prolongation de l’exercice, au pire une source de blessure ou de malaise. Que faire pour prévenir ?

Booster son système immunitaire au lendemain du déconfinement

Le système immunitaire est un terme dont nous avons tous déjà entendu parler. Son rôle sera de défendre l’organisme contre les éléments pathogènes étrangers, comme le Covid-19, mais également des autres virus rencontrés habituellement. En prendre soin est notre quotidien auprès de nos sportifs, car la survenue de maladies provoquera des trous dans l’entraînement ou pire des objectifs compétitifs non remplis. Vous allez voir que comme pour tous les sujets touchant à la performance, le bon sens sera la clef.

Covid-19 et reprise du sport intensif après 8 semaines de confinement : Les conseils d’un médecin du sport de terrain

Dans l'article intitulé "Sportifs, confinez-vous", écrit avec le Dr Desjacques pendant la seconde quinzaine de mars et paru fin mars sur le site Lepape-info, nous avions tenté de faire un point sur les connaissances médicales concernant le Covid-19. Notre objectif était alors de livrer des arguments solides pour que les sportifs acceptent de se confiner et de respecter les consignes sanitaires.

Huit semaines plus tard, l'objectif de ce nouvel article est de guider les sportifs et leur encadrement technique dans le déconfinement et la reprise du sport intensif. Depuis le début de cette année 2020, nous avons appris beaucoup sur un virus inconnu qui change sans cesse de visage. Mais de nombreuses incertitudes persistent, notamment sur les risques de séquelles musculaires, pulmonaires ou cardiaques chez les sportifs qui ont été atteints par le Covid-19.

L’effet déconfinement : un parallèle cognitif avec nos fins de séances

Une séance d’entraînement et un confinement sans-précédent ont-ils des points communs ? Au premier coup d’œil, tous deux ont un moment d’arrêt défini, tous deux engagent des efforts. Et s’il en est d’autres, une question se pose alors : la baisse d’autodiscipline que l’on observe en ce moment en France avant le déconfinement « officiel » ne pourrait-elle pas être rapprochée de mécanismes cognitifs que l’on vit plus généralement dans nos fins de séance ?

Nos 20 points essentiels pour bien dormir pendant le confinement

Nous avons tous connu un sommeil perturbé lors de périodes exceptionnelles (stress, chaleur, changement de literie, etc.). Pour certains d’entre nous, le confinement a le même impact sur notre sommeil par le changement de nos habitudes, l’enfermement ou l’anxiété. Pourtant, vous n’êtes pas s’en savoir que nous dormirons près de 25 ans de notre vie et que cette phase de veille aura de forts impacts sur notre bonne santé physique comme mentale.

Douleurs de la face externe du genou : Syndrome de l’essuie-glace ou tendinopathie du muscle poplité ?

La face externe du genou est très riche en structures cartilagineuses, osseuses tendineuses, ligamentaires, musculaires qui sont sollicitées en permanence dans la plupart des gestes sportifs et notamment dans la course. Mais toutes les douleurs de la face externe du genou ne sont pas des syndromes de l’essuie-glace. Loin de là ! Au niveau de la face externe du genou, sous la peau et sur quelques centimètres carrés, de nombreuses pathologies peuvent survenir et il n’est pas toujours facile de poser un bon diagnostic. Chez les sportifs, les erreurs de localisation de la lésion sont très souvent à l’origine de problèmes thérapeutiques et de retard à la reprise sur le terrain. Ainsi, la tendinopathie du muscle poplité peut très bien se confondre avec un syndrome de l’essuie-glace alors que le traitement en est totalement différent.
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Dents et sports : que faut-il savoir ?

« Personne ne peut se dire en bonne santé s’il n’est pas en bonne santé bucco-dentaire ».

Selon l’OMS les problèmes parodontaux auxquels nous pouvons être confrontés sont un indicateur d’une mauvaise santé bucco-dentaire qui altère la santé générale.

Un sportif d’endurance sur 2 souffre de troubles intestinaux : des conseils simples pour les éviter !

Votre participation au marathon de Paris a été repoussée ? Tant mieux cela vous laisse du temps pour mettre tous les atouts de votre côté. Des études statistiques ont montré que près de la moitié des sportifs longue distance ont déjà souffert de troubles intestinaux, mettant en péril leur performance physique et donc leur résultat compétitif. Il ne sera pas rare de faire ce constat sur les marathons, courses cyclistes ou trails. Voici des conseils simples qui pourront vous permettre de limiter ces risques.


L’exercice physique intense : une redistribution instructive des flux sanguins

Dans la majorité de nos articles, nous parlons d’exercices physiques intenses ou longs, mettant à mal les systèmes physiologiques de l’individu, parfois jusqu’aux limites tolérables. Les problèmes musculaires, la déshydratation, la dérive cardiaque, les désordres gastro-intestinaux…peuvent être mis en lien plus ou moins directement avec la redistribution des flux sanguins à l’exercice. Voyons ce qu’il se passe.





Femmes enceintes et nouveau-nés : « Maman, cours pour ma santé ! »

La grossesse s’accompagne de restrictions alimentaires, professionnelles et environnementales. Mais elle est aussi faite d’encouragements, notamment sur le plan de l’activité physique. Et pour cause, les répercussions de cette pratique dépassent le « simple » cadre de la grossesse : elles accompagnent l’enfant bien des années !



Addict : quand cerveau rime avec bourreau

Une question revient sur l’activité physique : quelle dose suffit à être sain de corps et d’esprit ? Pour ce qui est du corps, l’OMS pose clairement les bases : au moins 3x30’ d’intensité modérée par semaine. Pour ce qui est de l’esprit, c’est plus difficile… Et si ici, le mieux était l’ennemi du bien ?


Sommeil rallongé = endurance maximisée

Les bonnes pratiques de l’hygiène de sommeil se démocratisent et évincent une partie des troubles qui y sont liés, permettant notamment un regain de performance physique. En endurance, alors que ce sont surtout les effets d’une restriction du sommeil qui sont étudiés, que savons-nous des enjeux liés à son extension ?