Bien choisir ses chaussures de running, les conseils du médecin du sport

Pour tous les coureurs à pied, quand vient le moment de changer sa paire de chaussure de running, l’incertitude et le doute s’installent.
Faut-il bourgeoisement limiter les risques en restant chez le même équipementier et persister à chausser le même modèle ? Faut-il au contraire transgresser de vieilles habitudes, suivre les modes ou tester les nouveautés technologiques ?
Se tromper de chaussures, c’est souvent dire au revoir au plaisir de courir et découvrir les nombreux désagréments d’une méchante blessure. Mais sur quels éléments doit-on se baser pour trouver la paire rare qui vous conviendra parfaitement ?

Les appuis en course à pied. Quels muscles renforcer pour améliorer ses performances et moins se blesser ? (seconde partie)

Suite et fin de notre décryptage au sujet des appuis en course à pied. L'objectif étant de faire passer des notions essentielles avec pour objectif l'amélioration des performances et la prévention des blessures.
Après avoir abordé lors de la 1ère partie, les 3 phases de l'appui, les notions d’attaque talon, médio-pied ou avant-pied, l'inversion et l'éversion place à d'autres aspects comme la phase de stabilisation, les muscles extrinsèques et muscles intrinsèques du pied ou encore l'importance du gainage du pied.

Douleurs de la face externe du genou : Syndrome de l’essuie-glace ou tendinopathie du muscle poplité ?

La face externe du genou est très riche en structures cartilagineuses, osseuses tendineuses, ligamentaires, musculaires qui sont sollicitées en permanence dans la plupart des gestes sportifs et notamment dans la course. Mais toutes les douleurs de la face externe du genou ne sont pas des syndromes de l’essuie-glace. Loin de là ! Au niveau de la face externe du genou, sous la peau et sur quelques centimètres carrés, de nombreuses pathologies peuvent survenir et il n’est pas toujours facile de poser un bon diagnostic. Chez les sportifs, les erreurs de localisation de la lésion sont très souvent à l’origine de problèmes thérapeutiques et de retard à la reprise sur le terrain. Ainsi, la tendinopathie du muscle poplité peut très bien se confondre avec un syndrome de l’essuie-glace alors que le traitement en est totalement différent.
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