Ironman vs Fatwoman

Alors qu’il est aujourd’hui admis que l’instauration d’un état de surmenage chez tout un chacun dépend de son contexte de vie, pour le sportif, deux facteurs en particulier ont été récemment présentés comme prépondérants. Explications. 2 réactions

La Variabilité de la Fréquence Cardiaque

La VFC (pour Variabilité de la Fréquence Cardiaque) est un indice de suivi physiologique des athlètes. Issu des recherches en médecine des années 80, cet indice a su s’imposer dans le domaine sportif pour détecter les états de forme et de fatigue. Victime d’égarements dans le traitement du signal, le consensus est à présent pratiquement établi sur le traitement et l’interprétation des données. Mais de quoi s’agit-il au juste ? 6 réactions





Se couvrir pour maigrir ?

Certes les activités d’endurance profitent ces années d’un effet de mode consistant à peaufiner l’assortiment de sa tenue de course avant de sortir. Mais malgré cela, il n’est pas rare d’observer des coureurs étrangement lourdement habillés par la météo ambiante et, quand bien même on s’aventurerait à leur demander « Pourquoi ?! », de s’entendre répondre : « Pour perdre du poids ! ». Non, Mesdames, Messieurs, vous ne perdrez pas plus de poids en courant habillés, en tout cas pas dans l’optique que vous vous affichez d’un régime à moyen terme. Explications. 2 réactions



Jus de betterave : le nouveau pétrole rouge ?

Depuis quelques années le jus de betterave est la boisson à la mode dans les sports d’endurance. On le voit notamment consommé en masse chez les cyclistes professionnels et le phénomène s’empare d’autres sports comme le triathlon, la course à pieds, le ski de fond, etc. Mais que sait-on exactement sur ce breuvage naturel et quelles données théoriques possédons-nous actuellement ? Petit tour de la question. 4 réactions


C’est quoi la Fatigue ? Approche théorique #2 : La remise en cause des données existantes

N’a-t-on pas des arguments récurrents qui nous suggèrent que la compréhension du phénomène de fatigue ne devrait pas être réduite à ce qui se passe dans le corps… A commencer par celui du sprint final ! Une dernière accélération… parfois même après 42km de course ? C’est vrai ça… Comment, sur la base des précédents modèles (cf. partie #1), deviendrait-il possible à un athlète de courir plus vite en fin de marathon que sur la moyenne de l’épreuve ? Ses réserves énergétiques devraient en effet être trop amoindries pour générer un tel comportement, sa température centrale trop élevée, ses traumatismes trop importants… Trop ! Trop… ? A priori, non.





Semi Marathon de Vienne 2012 Radcliffe Gebrselassie

2h15min25sec…histoire d’un record… (partie 1)

Au travers d’un article scientifique publié il y a maintenant 9 ans, Andrew M.Jones nous renseignait sur les différentes caractéristiques physiologiques de Paula Radcliffe (détentrice du record du monde du marathon) ainsi que leurs évolutions. Voici un résumé de cet article au combien enrichissant pour les amateurs d’épreuves de longue distance. Comme d’habitude, celui-ci n’a pas vocation de nous faire devenir des « petits » Paula Radcliffe, mais nous amener à réfléchir sur nos pratiques, à nous remettre en question, tester, chercher à comprendre et adapter au mieux par rapport à soi-même et non aux autres.

Prépa mentale. N’oublions pas l’essentiel.

« C’est pas faute d’avoir essayé ! », « Ca m’énerve !! », « Je comprends pas, j’ai tout fait comme prévu ». Autant de bilans qui font oublier ce que l'on était venus chercher à l’origine : le plaisir. Et pourtant, les stratégies de préparation mentale à la réalisation d’une performance physique ne manquent pas. Alors que ces dernières foisonnent et font l’objet d’un attrait croissant, on en oublie trop souvent la base.