On pointe souvent du doigt la pollution et ses dangers pour les sportifs qui s’entraînent en ville. Cyril Schmit, chercheur et expert lepape-info, fait le point sur ce sujet d'actualité avec le retour des beaux jours et de la chaleur. 4 réactions
Boire avant d'avoir soif, boire en prévention, quelles quantités...? Les interrogations sont multiples quand il s'agit d'hydratation. Cyril Schmit, chercheur et expert lepape-info, vous apporte quelques arguments scientifiques pour alimenter votre réflexion. 2 réactions
On pourrait penser que s'habituer à la chaleur est utile uniquement en cas de course par fortes chaleurs. Pas si sûr...comme nous l'explique Cyril Schmit, chercheur et expert lepape-info. 1 réaction
Si l'acclimatation à la chaleur peut être bénéfique avant une course "chaude" les coureurs n'ont pas toujours le temps de la réaliser. Découvrez comment éviter le coup de chaud avec Cyril Schmit, chercheur et expert lepape-info.
Acclimatation, Thermo Training Room® et températures élevées… Cyril Schmit, chercheur et expert lepape-info, vous entraîne dans le monde de la chaleur chez les sportifs de haut niveau.
Les outils d’aides à la performance bourgeonnent (capteur de puissance, cardio GPS, etc.) et rationalisent d’ailleurs l’entraînement autant qu’ils le complexifient. Dans ce contexte, quels paramètres simples peuvent aider à réguler la charge ?
L’exposition à l’altitude est propice en ces mois d’hiver. Parfois, l’enjeu dépasse le cadre des vacances… Il cible le développement des ressources. Objectif : performance ! Dans ce contexte, au retour de ce « camp d’entraînement », le verdict est alors sans appel. Fatigué ? En pleine forme ? Rappels sur ce que l’on peut attendre d’un stage en altitude.
On entend très souvent parler d'acclimatation à la chaleur pour améliorer ses performances. Cyril Schmit, chercheur et expert lepape-info, vous explique comment mettre en oeuvre cette stratégie chez vous.
« C’est pas faute d’avoir essayé ! », « Ca m’énerve !! », « Je comprends pas, j’ai tout fait comme prévu ». Autant de bilans qui font oublier ce que l'on était venus chercher à l’origine : le plaisir. Et pourtant, les stratégies de préparation mentale à la réalisation d’une performance physique ne manquent pas. Alors que ces dernières foisonnent et font l’objet d’un attrait croissant, on en oublie trop souvent la base.
« Rentrer les séances ». C’est le propre de beaucoup d’athlètes, quel que soit le niveau de performance. Du lundi avec la séance au seuil au dimanche de la sortie longue, tout est souvent planifié, parfois routinisé mais – fort heureusement – rarement standardisé. En effet si cette démarche de reproduction de programmes peut s’avérer facilitante, poussée à l’excès, elle n’en reste pour autant que plus limitante. Explications, et…propositions.
Spontanément, la réponse semble évidente… et négative. Quelle idée de se refroidir plutôt que de se réchauffer, surtout s'il ne fait pas chaud ?! D’ailleurs, il est peu commun d’observer des sportifs employer des stratégies de refroidissement quand la température ne dépasse pas les 25°C. Mais cela arrive parfois… Car c’est dans cette individualité que semble reposer la nécessité – ou l’absence de nécessité – d’user de telles interventions. Explications.
Demandez à un coureur de vous présenter les soubassements de sa progression, et il vous décrira en priorité l’agencement de ses séances d’entraînement, ses implications dans l’effort, etc. Posez maintenant la même question à un coach, et observer le différentiel de réponse fondé sur… la prise de recul. Et donc l’évocation de la récupération ! Alors que les réflexions relatives à la dynamique des progrès sont en effet généralement cristallisées autour de la notion de charge, qu’en est-il de l’optimisation des outils de récupération ? Tour d’horizon.
Alors que tout athlète peut s’enrichir de l’expérience des autres pour progresser, seule une plus grande connaissance de soi reste fondamentale pour maximiser la performance et exprimer ainsi son plein potentiel. La connaissance de soi… Une notion que trop de pratiquants ignorent en préférant les « on-dit » rassurants. STOP !
La capacité à décider lucidement, c’est-à-dire en "pleine conscience", est une problématique omniprésente dans la vie quotidienne, devenant même source d’enjeux pour les entreprises. Comment celle-ci évolue-t-elle dans le cadre d'un effort physique ? Et, quand bien même nous deviendrons moins lucide avec la fatigue, comment améliorer alors notre habileté à maintenir notre qualité décisionnelle à l’instant T. Éléments de réponse.
Le soleil brille. Certes, le sportif profite alors du paysage, mais il oublie assez vite ces sensations agréables quand la sueur commence à abonder à grosses gouttes et que l’effort devient rapidement trop pénible. Voici donc quelques solutions pour continuer à « performer » dans ce contexte particulier. 1 réaction