Le semi-marathon de Feurs (Feurs en Forez, 42), le 22 mars 2015

La 5e édition du semi-marathon de Feurs (Loire), se déroulera dimanche 22 mars 2015. Cette course possède la particularité d’être la seule de cette distance dans le département de la Loire et attire chaque année un nombre plus important de coureurs.

semi-marathon de Feurs

Comme l’année dernière, ils seront plus de 1000 à s’élancer à l’assaut des 21 kilomètres d’un parcours très roulant, qualificatif pour les championnats de France de la spécialité.

Sur ce semi-marathon de Feurs, les ténors locaux seront encore de la partie puisque les deux lauréats 2014 ont d’ores et déjà confirmé leur participation : Jérémy Peixoto (EAMYA), vainqueur chez les hommes en 1h10’48, et Sophie Le Beherec (Villeurbanne), victorieuse des féminines en 1h21mn23s. Ils seront menacés par d’autres coureurs ambitieux : comme Pierre Magand (Bron), Antoine Buisson (St Chamond) et Sébastien Larue (Pont de Vaux). Chez les filles, Diane Wolf, Stéphanie Reymond et Maud Fabre joueront la gagne.

Il y aura une petite attraction cette année avec le parrainage de Stéphane Diagana. L’ancien champion du monde du 400 m haies (en 1997), en délicatesse avec ses mollets, espère pouvoir aller au bout de son effort, en compagnie d’Odile, son épouse. Les deux préparent le prochain marathon de Londres.

Côté humanitaire, les organisateurs du semi de Feurs (le club de la Foulée Forézienne) reverseront une partie des bénéfices à l’association Nid d’espoir, également parrainée par Stéphane Diagana.

Cette présence réjouit Christian Natoli, le président de la Foulée Forézienne. « Nous sommes évidemment très heureux d’accueillir des champions tels que Stéphane et Odile. Au départ ils n’appartiennent pas à la famille du hors stade mais ils montrent que tout est possible pour ceux qui ont la motivation et qui sont prêts à se « reconvertir. Je les admire. »

Pour que le bonheur soit complet, Christian Natoli explique qu’il faudra « que tout le monde reparte avec le sourire » au terme de l’effort. « C’est notre ambition. Si tous les coureurs sont heureux et ont envie de revenir l’année prochaine, alors le pari sera gagné.»

Réponse dimanche après-midi.

Hervé Colin

 

 

 

 

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