Déprimé(e) ? Oubliez Netflix, partez courir

Pourquoi faire de l’activité physique (AP) en situation de perte d’estime de soi, de confiance et d’apathie ? Ou plutôt… pourquoi pas ?
Avant même les médicaments, l’option automatique devrait effectivement être comportementale. Cela tombe bien car contre les symptômes dépressifs l’exercice a de bons arguments à faire valoir !

Futures mamans : ne (surtout) pas s’arrêter de pratiquer

« Quand 1 +1 = 3 », « Faire d’une pierre deux coups », « la fenêtre d’opportunité »... Les expressions ne manquent pas pour caractériser une situation dans laquelle les bénéfices d’une action ont plus de valeur qu’à l’accoutumée.
La période de grossesse représente l’une de ces situations dès lors qu’en toile de fond, c’est de l’activité physique (AP) dont il est question.



Activité physique, temps assis et mortalité : prenez soin de vous !

Pour donner du crédit à l’activité physique, on parle souvent de choses complexes (la physiologie du cœur, du cerveau…). Pour discréditer son opposé, la sédentarité, il en est de même (ostéoporose, inactivité enzymatique…). Si l’on prend du recul sur ces explications complexes pour observer plus simplement des statistiques sur la mortalité – ce qui nous parle à tous, il faut l’avouer – le message reste tout aussi limpide et gagne même en impact. Principe d’ergonomie.



Parcours du Coeur 2012

Les 38èmes Parcours du Cœur les 6 et 7 avril 2013

Avec un thème – la santé cardiaque pour tous – et des nouveaux outils de communication et sensibilisation, la Fédération Française de Cardiologie organise, samedi 6 et dimanche 7 avril 2013, la 38ème édition des Parcours du Cœur. Parce que les Français ont encore beaucoup de progrès à faire pour prendre leur santé en mains.

Jusqu’où le sport est-il bon pour la santé ?

Depuis quelques années, le sport fait partie de notre quotidien. Mais une question mérite d’être posée : à partir de quelle dose est-il efficace pour la santé ? Et à partir de quelle autre dose, devient-il délétère pour cette même santé ?