Repas veille de marathon : digeste mais costaud !

Pour votre "dernier repas", vous n'échapperez pas aux féculents !

Question : Je vais bientôt courir mon premier marathon et je lis de plus en plus que la veille au soir, il vaut mieux diner léger. Qu’en pensez vous, quel est votre conseil menu pour ce dernier repas ?

La réponse de Dominique POULAIN, diététicienne nutritionniste

Quelques malentendus persistent

Des stratégies glucidiques sont indispensables pour préparer des efforts de plus de 90 minutes. Cette nécessité est moins stricte pour les efforts de moins longue durée.

Dans tous les cas, il faut mettre «la main à la pâte» pour cerner les aliments qui conviennent au mieux la veille de la course. On teste, on se trompe, on essaye à nouveau.

La veille de votre objectif

Un marathon est une course longue qui exige sa part de féculents. Si vous devez dîner au restaurant la veille, trouvez un restaurateur qui saura comprendre vos « petites » exigences culinaires :

–       Un plat de pâtes, riz, pommes de terre, semoule… accompagné d’un peu de beurre ou d’une sauce digeste.

–       Certains coureurs anxieux connaissent des problèmes intestinaux (diarrhées qualifiées d’«émotives») avant la course. Il faut «reposer» le système digestif. Les aliments riches en fibres, agressifs (crudités, légumes secs) sont susceptibles d’accélérer votre transit.

–       Viande ou poisson, laitage ou fromage, pain, eau complèteront l’assiette.

De la théorie à la cuisine

–       Potage ou Gaspacho

–       Poulet rôti

–       Tagliatelles au beurre (gruyère râpé)

–       Fromage blanc et coulis de fruits rouges

–       Pomme au four

N’attendez pas la veille pour préparer vos réserves glucidiques !

1 réaction à cet article

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