10 km, le dernier repas

Repas veille d’un 10 km, est-ce la même chose que pour un semi-marathon ou un marathon ?

La durée de l'effort doit être votre critère

Si l’on prévoit un effort intense de plus d’1h30, il est plus sage de suivre un plan particulier pour assurer ses réserves glucidiques. Cette attention est moins stricte pour les efforts sur 10 kms.

Festin de tournedos Rossini, côte de veau de lait, soufflé glacé au chocolat… Des recettes à savourer mais un autre soir !

En préambule, il faut surtout privilégier un repas digeste qui vous assurera les meilleures conditions alimentaires.

–       Modérer les apports de matières grasses. De bonne ou de mauvaise qualité nutritionnelle, il vaut mieux en limiter la consommation la veille de votre compétition. Les lipides exigent un long temps de digestion, ou être à la source d’inconforts digestifs préjudiciables à une bonne nuit de sommeil.

–       Eviter les aliments riches en fibres végétales. Les fibres contenues dans les fruits, légumes, légumes secs, céréales complètes accélèrent le transit intestinal. La course risque d’être chaotique pour les tubes digestifs les plus fragiles. Tout est une question de tolérance personnelle

–       Choisir des aliments familiers. Tout comme vos chaussures de sport, il est important de tester vos aliments avant le jour J.

–       Consommer des quantités raisonnables de féculents. Pour les besoins glucidiques d’un 10 kms, la pasta party n’est pas une nécessité.

–       S’hydrater suffisamment. Un organisme déshydraté ne fournit jamais rien de bon.

Réagissez