Les bons et les mauvais sucres pour les sportifs

Aucun interdit

Il n’y a pas de bons et de mauvais sucres, seulement des mauvaises gestions.

Voici un critère de classement lapidaire!

Les effets nutritionnels des sucres varient en fonction de l’état physiologique du sportif : Prépare-t-il une compétition longue distance ? Vient-il de terminer un effort physique intense? Il n’y a pas de bons et de mauvais sucres, il y a des comportements alimentaires inadéquats.

Préparation d’une longue épreuve sportive

L’amidon est un sucre «complexe» (car il est formé de nombreuses molécules de glucose). Il est «bon» d’en consommer 2-3 jours avant la compétition. Les féculents assurent les réserves de glycogène dans les muscles et le foie.

Récupération sportive

Après un effort long, les stocks glycogéniques sont réduits. Leur vitesse de resynthèse est maximale si la consommation de sucres «simples» (saccharose : glucose associé au fructose) est immédiate.  Sucres des jus de fruits, lait concentré, laitage,… offrent  de judicieux ravitaillements.

Du pain sur la planche

Il n’y a pas de bons ni de mauvais sucres. Certains devraient être consommés sur une base régulière et d’autres à l’occasion.  Les français ont pris l’habitude d’oublier les glucides complexes et d’exagérer certains sucres simples.

–       Pâtes, riz, pommes de terre, pain, légumes secs… améliorent la satiété et fournissent une énergie progressive à l’organisme

–       Barres céréalières, biscuits, jus de fruits à limiter hors activités physiques

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