Nombre de sportifs se plaignent de troubles gastro-intestinaux à l’effort avec pour conséquences immédiates souffrances, contre-performances ou abandons. La diététique avant course soulage et permet de se réconcilier avec son estomac !
Il est conseillé aux sportifs d’ingérer des glucides lors de séances d'entraînement ou de compétitions afin d’assurer un apport nutritionnel et calorique suffisant pour soutenir l’effort. Mais, pourquoi ne pas s’intéresser aux graisses, encore plus énergétiques, pendant un exercice physique ?
Faire la chasse aux sucres pour laisser place aux graisses dans le but de perdre du poids et/ou d’améliorer ses performances sportives? Etonnant! Est-ce vraiment efficace ?
Valise vérifiée, passeport en main, formalités accomplies, prêt à prendre l’avion pour une lointaine épreuve sportive à l’étranger. Les conditions des voyages aériens créent des contraintes, alors que manger au cours d’un long vol pour rester performant à l’arrivée ?
Nombreuses sont les causes d’abandon lors d’épreuves comme le marathon mais les mauvais ravitaillements sont souvent à l’origine de désillusions chronométriques.
En gélules, poudres, tisanes, fraiches ou séchées,… les préparations à base d’algues marines sont en pleine expansion et tendance dans le commerce pour diversifier la cuisine iodée du sportif. Mais, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) met en garde les consommateurs d’algues quant au risque de dépassement des limites supérieures de sécurité d’apport en iode.
Dans les heures qui suivent un entrainement, les altérations musculaires nécessitent une stratégie nutritionnelle rapide, ciblée et adaptée. Faut-il vraiment supplémenter en Leucine, un acide aminé connu pour déclencher la synthèse des protéines dans le muscle ?
Le magnésium entretient des rôles étroits et essentiels avec les réactions énergétiques, les fonctions neuromusculaires, le système hormonal,… de l’organisme, d’où la curiosité du sportif pour cet élément minéral. Le scénario catastrophe d’une vraie carence chez un sportif ayant une bonne santé alimentaire est peu probable. La solution de se prémunir contre le risque d’en manquer passe par les bonnes réponses alimentaires. 1 réaction
Des soupes, des potages, des veloutés, des bouillons,…. Pour les lendemains de fêtes ? Pas seulement. Le sportif trouvera dans toutes ces recettes de quoi se réchauffer, s’hydrater, récupérer et s’étourdir de vitamines ! 2 réactions
L'activité physique régulière est reconnue comme moyen de contribuer à une bonne santé. Mais, l'exercice physique d'intensité élevée, sous l'effet de l'augmentation de la consommation d'oxygène, molécule indispensable à la respiration, stimule la fabrication de substances chimiques très instables et délétères : les radicaux libres de l’oxygène (RLO). Que fait l’organisme pour protéger l’imprudent sportif ?
Chaque année, des centaines de coureurs à pied s’engagent dans des épreuves hors du commun : des ultra-trails « affolants ». Ces courses de montagne avec leurs dénivelés extrêmes fragilisent le coureur à pied, font mal, et posent question quant à leurs conséquences physiologiques et leurs nécessaires adaptations alimentaires.
Se lancer dans un entrainement acharné pour espérer des perfs, c’est bien, mais inadapté si l’organisme ne possède pas un bon transporteur de l’oxygène. Ce rôle dévolu au fer, oligo-élément largement impliqué dans le transport sanguin de l’oxygène, le rend très intéressant auprès des sportives et sportifs.
Le sportif amateur ou de haut niveau de performances est sensible aux risques de déficience en fer. L'état sous-optimal des réserves dans l’organisme résulte souvent d'un apport limité en fer provenant de sources alimentaires. Quels sont les aliments pour faire le plein de ce précieux métal ? 2 réactions
Depuis quelques mois, la rumeur court sur la toile : l’huile de noix de coco s’est peu à peu hissée au rang de super-aliment, d’huile miracle pour la cuisine et la santé du sportif. Avant de courir l’acheter, voyons sa composition !
De notre « mode de vie moderne mais sédentaire » émergent des sensations de fatigue, d’épuisement, de mal-être, voire de maladies chroniques (diabète de type 2, maladies cardio-vasculaires,…). Nombre d’entre vous souhaitent y échapper par la reprise de l’activité physique. Bravo ! La pratique d’exercices présente de nombreux bienfaits mais il faut aussi penser à son alimentation pour optimiser la récupération après l’effort.
Les sportifs connaissent les bienfaits des bons sommeils réparateurs et paisibles afin d’optimiser récupération et progression. Dès lors que penser de cette petite phrase, cent fois entendue par les athlètes, « ne bois pas de jus d’orange » ou « ne mange pas de clémentine avant d’aller dormir », « C’est plein de vitamine C synonyme d’excitant qui empêche de dormir». Alors, l’orange et sa vitamine C sont-elles des empêcheuses de dormir ? Peut-être que vous aussi préférez éviter de consommer ce fruit au dîner de peur de ne pas trouver le sommeil?
Dans le cadre de la future politique nutritionnelle de santé publique et du Programme National Nutrition Santé (PNNS 4), le Haut Conseil de la santé publique propose de nouveaux axes de messages sanitaires pour orienter les consommateurs. Ces conseils peuvent-ils s’adapter aux sportifs ?