Et après l’objectif ?

Comment se fixer un objectif ? Comment le préparer à l’entraînement ? Comment gérer le jour J ? Vous trouverez de nombreux articles sur internet pour vous aider à répondre à ces questions. Mais que se passe-t-il une fois que l’épreuve est passée ? Peut-on, doit-on anticiper cette phase qui est parfois vécue douloureusement par le sportif ? Quelques éléments de réponse dans ce billet.

Où aller chercher des ressources inespérées ?

Savez-vous qu’il a été montré depuis des années que le facteur le plus puissant sur la performance ne sera pas un programme d’entraînement, une boisson énergétique, un complément, un protocole de récupération ou toute autre méthode pouvant influer sur le physique ou notre physiologie, mais la puissance des messages envoyés à notre mental !
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Ration de récupération : que choisir ?

En rapprochant la nutrition sportive, la diététique et l’entraînement, on peut affiner les recommandations nutritionnelles globales. En particulier, à la question de savoir s’il faut opter pour des macronutriments comme les glucides en récupération, on peut répondre plus précisément quoi, combien et quand.




Récupération, la règle des quatre « R »

La progression aura toujours une fondement identique : s’entraîner consciencieusement et intelligemment. Mais, aujourd’hui on sait également que la récupération prend une part très importante dans ce processus. L’une de nos missions principales auprès des sportifs de haut-niveau consiste justement à planifier et organiser ces techniques, au même titre que l’entraînement à proprement parlé et en accord avec les choix de l’entraîneur et ses orientations.



Endurance et régimes nutritionnels : toutes les stratégies possibles ! (2/4)

Elle fait partie de notre quotidien et pourtant on maitrise encore imparfaitement l’intérêt de la nourriture sur la performance – hormis dans son lien avec la prise de poids. Parmi les éléments majeurs qui la constitue et dont le corps a besoin pour lui fournir de l’énergie, on retrouve les glucides (les « sucres »), les lipides (les « graisses ») et les protéines (pour « réparer »). Comment ces macronutriments peuvent-ils être utilisés pour maximiser les adaptations à l’entraînement ? Pourquoi certains comptent-ils plus que d’autres pour la performance ? Quels sont les régimes qui marchent et ceux qui sont à éviter ? Voici un dossier spécial tiré des recherches actuelles (Burke et al., Toward a common understanding of diet-exercise strategies, IJSNEM 2018) pour tout vous expliquer !

Reconnaître simplement la fatigue

Le site Lepape-info regorge d’articles regorge d’articles sur la fatigue, centrale et périphérique, sur les moyens de la prévenir ou d’en récupérer. Et si le nombre d’articles est impressionnant, c’est parce que la problématique est complexe. Mais voyons comment identifier simplement un état de fatigue chez l’athlète.


Antioxydants : doit-on vraiment augmenter ses apports à l’entraînement ?

L’idée s’est répandue que les antioxydants étaient utiles à l’exercice pour combattre la dégradation cellulaire qui intervient sous l’effet de molécules très réactives à l’oxygène. D’où leur facilité à être recommandés en tant que supplément alimentaire… Qu’en disent les recherches actuelles ?


Diététique du sportif débutant : Savoir récupérer

De notre « mode de vie moderne mais sédentaire » émergent des sensations de fatigue, d’épuisement, de mal-être, voire de maladies chroniques (diabète de type 2, maladies cardio-vasculaires,…). Nombre d’entre vous souhaitent y échapper par la reprise de l’activité physique. Bravo ! La pratique d’exercices présente de nombreux bienfaits mais il faut aussi penser à son alimentation pour optimiser la récupération après l’effort.

Mieux dormir pour performer !

On ne sait pas encore clairement pourquoi en dort, mais on sait que le sommeil est le facteur n°1 de notre récupération. Faisons un point sur cette activité qui nous occupe 1/3 de notre vie.


Quelles échelles de ressenti pour s’entraîner ?

Les échelles de sensation recueillent de la subjectivité. Par définition, elles peuvent donc omettre certains facteurs essentiels comme en refléter d’autres estimés sans importance. Ainsi, elles sont partielles. Pourtant, dès lors que l’individu interpellé par cet outil s’y adonne consciencieusement, les mesures réalisées peuvent devenir cruciales. Prévention de la blessure, qualité de récupération, satisfaction liée à l’entraînement… s’en trouvent toujours améliorés. C’est démontré. Le lien avec la performance est alors tout tracé. Voici quelques-unes des échelles couramment utilisées dans le monde de l’entraînement (en endurance notamment) pour réaliser un suivi de l’état de forme d’un athlète.

Approche biologique de la fatigue

Dans un précédent article, nous avons parlé de la nécessité de la coupure à buts de récupération et de régénération (lien en fin d'article). Fatigue et récupération sont 2 concepts intimement liés, et la récupération doit être considérée comme un entraînement invisible, dixit Guillaume Millet.


Diminuez votre Stress (2ème partie)

Aujourd’hui, nous le savons, le stress est responsable de nombreux maux. En sport il peut agir négativement le jour de la compétition ou en amont en mettant à mal, par exemple, le système immunitaire. Mais il n’est pas une fatalité. Dans ce dossier de plusieurs articles, nous verrons quels outils permettent de diminuer le niveau de stress chez l’individu. Dans ce second billet nous nous intéresserons au « lâcher prise», à l’importance de la parole et à l’exercice de la relaxation !