Travail de nuit, comment optimiser l’alimentation et les entraînements?

Je travaille de nuit depuis plus de 10 ans et pratique l’athlétisme en club depuis maintenant 3 saisons (4 à 5 séances par semaine, 37 ans et en léger surpoids par rapport à mes concurrents directs). Ma progression générale sur des distances longues est correcte mais j’ai à présent du mal à franchir un nouveau palier (sous 35 minutes sur 10 kilomètre).
Je n’arrive pas à mettre en place un système me permettant de dormir suffisamment (jusqu’à midi), prendre un petit déjeuner, m’entraîner, déjeuner et aller embaucher (entre 18h00 et 20h00). Je prends mon « dîner » entre 22h00 et 22h30.
Ayant un travail physique l’absorption de féculents sur mes deux repas est obligatoire sous peine de fringale nocturne en rentrant (140G cru de pâtes par repas).
Je n’arrive plus à réaliser correctement certaines séances avec un simple petit déjeuner dans le ventre. Je n’ai malheureusement pas assez de temps pour attendre 3 heures avant de m’entraîner.
Peut-être rencontrez-vous ce genre de problématique? Un grand merci d’avance pour vos retours.

Une réponse à la question

  1. Bonjour NIcou j’ai travaillé de nuit pendant 10 ans et mon dieu que je te comprends, le travail de nuit et l’entrainement diurne sont très exigeants mentalement et demande pas mal de motivation. De mon coté je m’en sortais en m’entrainant directement après la fin de mon quart de travail et dormais ensuite comme un bébé jusque cela soit l’heure d’aller travailler. Une autre solution est de te tester d’un point de vue métabolique: je m’explique: J’ai découvert que je pouvais m’entrainer 90 min après la fin d’un repas léger et facile à digérer. Donc j’avalais 2 barre énergétique par exemple 90 min et même 60 min avant de débuter mon entrainement et ça marchais, en fait ça courrais. Par contre je réservais mes entrainements de VMA pour les journées de congés.

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